lundi 18 février 2013

Allez, le temps est cher : il le faut employer. Racine.




UZES
La promenade Racine





 



Lettres à M. Vitart du 15 novembre 1661 
" Il n’y a pas un curé ni un maitre d’école qui ne m’ait fait le compliment gaillard, auquel je ne saurais répondre que par des révérences; car je n’entends pas le françois de ce pays-ci, et on n’y entend pas le mien; ainsi je tire le pied fort humblement ; et je dis, quand tout est fait : Adiousias."













"Je vous jure que j’ai autant besoin d’un interprète, qu’un Moscovite en auroit besoin dans Paris. Néanmoins je commence à m’apercevoir que c’est un langage mêlé d’espagnol et d’italien; et comme j’entends assez bien ces deux langues, j’y ai quelquefois recours pour entendre les autres et pour me faire entendre"





La tour Fenestrelle. XIIème.



Saint Etienne. XVIII ème









Tout autour de la place aux herbes, les arcades.











Lettre à M. l’abbé Le Vasseur du 3 février 1662

"Vous saurez qu’en ce pays-ci on ne voit guère d’amours médiocres: toutes les passions y sont démesurées; et les esprits de cette ville, qui sont assez légers en d’autres choses, s’engagent plus fortement dans leurs inclinations qu’en aucun autre pays du monde...








...Cependant , excepté trois ou quatre personnes qui sont belles, on n’y voit presque que des beautés fort communes. La sienne est des premières; et il me l’a montrée tantôt à une fenêtre, comme nous revenions de la procession, car elle est huguenote, et nous n’avons point de belles catholiques."   

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